La lavande, une culture qui résiste tant bien que malPhotos, A. Bziouat
Photos, A. Bziouat
La lavande est cultivée à Oulmès depuis la période du protectorat. Cette culture perdure tant bien que mal de nos jours, mais n’est destinée qu’aux herboristes. «Les variétés existantes ne permettent pas de passer par l’étape de la distillation vu le peu d’essence que la plante contient», explique Lkhelfi Abderrahmane, exploitant agricole. Une fois la lavande séchée et tamisée, elle est commercialisée en vrac entre 20 et 30 DH/kilo.